Base de connaissances
1 000 FAQ, 500 tutoriels et vidéos explicatives. Ici, il n'y a que des solutions !
En terme de logiciels libres permettant de manipuler des fichiers multimédia, FFmpeg
est un outil puissant et flexible. Il peut être utilisé pour convertir, éditer, et streamer des vidéos et des audios.
Cependant, l'utilisation de FFmpeg
sur des hébergements mutualisés pose certaines problématiques et limites, tant pour les utilisateurs que pour les hébergeurs.
Il faut vous orienter vers l'offre de Serveur Cloud pour une utilisation de FFmpeg.
Vous pouvez également vous orienter vers le service de VOD/AOD Infomaniak.
Ce guide explique comment redémarrer un VPS Cloud / VPS Lite Infomaniak et ce que vous pouvez faire dans le cas où vous n'avez plus accès au serveur.
Reboot de VPS Cloud / VPS Lite
Le mode classique permet de redémarrer normalement votre serveur. Pour accéder au VPS Cloud / VPS Lite :
- Cliquez ici afin d'accéder à la gestion de votre produit sur le Manager Infomaniak (besoin d'aide ?).
- Cliquez directement sur le nom attribué au produit concerné.
- Cliquez sur le bouton Gérer.
- Cliquez sur Redémarrer (mode classique):
Activer/désactiver le mode sans échec
Si vous avez perdu votre clé SSH, ou fait une erreur de configuration, etc.
Vous avez la possibilité de redémarrer en mode rescue. Cela consiste à redémarrer sur une image de base depuis laquelle vous pouvez monter les partitions de votre cloud. De cette manière vous pourrez modifier/réparer votre configuration.
Attention: selon le système d'exploitation installé, le volume système peut se nommer /dev/sda
, /dev/sda1
ou /dev/vda
; idem pour le volume de données /dev/sdb
, /dev/sdb2
ou /dev/vdb
! Il convient donc de remplacer ces indications par celles correspondant Ă votre situation.
Pour activer le mode rescue :
- Cliquez ici afin d'accéder à la gestion de votre produit sur le Manager Infomaniak (besoin d'aide ?).
- Cliquez directement sur le nom attribué au produit concerné.
- Cliquez sur le bouton Gérer.
- Cliquez sur Redémarrer (mode sans échec):
Effectuer des opérations
Une fois le mode sans échec actif, accédez en SSH à votre Cloud, soit avec votre clé ssh, soit avec le mot de passe provisoire disponible dans l'interface.
Une fois connecté, faites:
sudo -i
puis listez les partitions disponibles (remplacer ov-abcd par votre nom d'hĂ´te):
[root@ov-abcd ~]# lsblk
NAME MAJ:MIN RM SIZE RO TYPE MOUNTPOINT
vda 253:0 0 8G 0 disk
└─vda1 253:1 0 8G 0 part /
vdb 253:16 0 20G 0 disk
└─vdb1 253:17 0 20G 0 part
vdb
correspond au disque de votre cloud.
Pour y accéder en écriture vous devez le monter:
[root@ov-abcd ~]# mount /dev/vdb1 /mnt/
Vous pouvez ensuite modifier les fichiers:
[root@ov-abcd ~]# ls /mnt/
bin boot dev etc home initrd.img initrd.img.old lib lib64 lost+found media mnt opt proc root run sbin srv sys tmp usr var vmlinuz vmlinuz.old
Selon le système d'exploitation de votre cloud vous pouvez également faire un chroot
afin de reproduire votre environnement habituel:
[root@ov-abcd ~]# chroot /mnt/
bash: ls: command not found
root@ov-abcd:/# export PATH="$PATH:/usr/sbin:/sbin:/bin"
root@ov-abcd:/# ls
bin boot dev etc home initrd.img initrd.img.old lib lib64 lost+found media mnt opt proc root run sbin srv sys tmp usr var vmlinuz vmlinuz.old
Une fois les modifications nécessaires effectuées, désactivez le mode sans échec pour redémarrer votre cloud sur le disque d'origine.
Ce guide explique comment monter le Volume dédié au stockage de vos données sur votre VPS Cloud sur Windows. Dans le cas d'un VPS Lite la procédure n'est pas nécessaire car il n'y a qu'un seul disque, même sur Windows.
Monter le volume de stockage
Pour le montage du volume de stockage sur Windows, il faut aller dans l'outil "Gestion du disque" et mettre le disque en ligne :
- Faites un clic droit sur le menu Démarrer.
- Recherchez Gestion du disque.
- Dans la liste latérale gauche, identifiez le disque hors connexion (en principe icône avec une flèche blanche sur un fond rouge ainsi qu’une icône bleue).
- Faites un clic droit dessus pour sélectionner En ligne.
Pour initialiser le disque et créer un volume:
- Une fois le disque en ligne, faites un clic droit dessus et sélectionnez Initialiser le disque.
- Choisissez entre MBR (pour les disques < 2 To) et GPT (recommandé pour les disques > 2 To), puis cliquez sur OK.
- Ensuite, faites un clic droit sur l'espace non alloué du disque et sélectionnez Nouveau volume simple.
- Suivez les étapes de l'assistant pour assigner une lettre de lecteur, formater le volume en NTFS, puis finalisez en cliquant sur Terminer.
Le disque sera maintenant accessible depuis l'Explorateur de fichiers de Windows.
Vous pouvez également utiliser diskpart l’utilitaire de gestion de disque et de partition de Windows.
Ce guide détaille la création d'un dépôt GIT aussi bien sur votre Hébergement Web que sur votre Serveur Cloud Infomaniak.
Préambule
- GIT et GITHub sont disponibles par défaut sur les 2 supports susmentionnés.
- Pour de l'aide supplémentaire contactez un partenaire ou lancez gratuitement un appel d'offres — découvrez aussi le rôle de l'hébergeur.
Création du dépôt GIT
Mise en place, sur le serveur:
- le dépôt GIT est sur
/git_depot
- le site se trouve dans le dossier
/web/[projet]
(dans votre serveur FTP)
Lignes de commande Ă indiquer:
cd
mkdir git_depot
cd git_depot/
git init --bare [projet].git
cd [projet].git
git update-server-info
Envoi du dépôt local sur le serveur
A faire sur le poste en local:
git init
git remote add origin ssh://user@[xxxxx].ftp.infomaniak.com:/home/clients/[123465789]/git_depot/[projet].git
git status
git add .
git commit -a -m "init"
git push --set-upstream origin master
git push
Clonage du site sur le répertoire du serveur
A faire sur le serveur:
cd
cd web
rm -r [projet]/
git clone /home/clients/[123465789]/git_depot/[projet].git [projet]/
Le module CGID pour Apache a été désactivé sur les offres d'hébergement Web mutualisé.
Si nécessaire, il faut donc envisager de changer d'offre pour un Serveur Cloud si vous êtes actuellement sur un hébergement Web mutualisé, cela se fait de façon transparente: prenez connaissance de cet autre guide à ce sujet.
Ce guide permet de résoudre un éventuel souci dans l'activation de votre licence Windows Server.
Modifier la clé enregistrée
Ouvrez l’utilitaire Exécuter (touche logo Windows + R
).
Retirer la clé enregistrée
Exécutez la commande suivante:
cscript.exe c:\windows\system32\slmgr.vbs -upk
Ajouter une nouvelle clé
Relancez l'utilitaire Exécuter puis exécutez la commande suivante:
cscript.exe c:\windows\system32\slmgr.vbs -ipk {CLE}
en remplaçant {CLE}
par la clé de votre configuration ci-dessous:
Système d'exploitation | Clé KMS |
---|---|
Windows Server 2019 Datacenter | WMDGN-G9PQG-XVVXX-R3X43-63DFG |
Windows Server 2019 Standard | N69G4-B89J2-4G8F4-WWYCC-J464C |
Windows Server 2022 Datacenter | WX4NM-KYWYW-QJJR4-XV3QB-6VM33 |
Windows Server 2022 Standard | VDYBN-27WPP-V4HQT-9VMD4-VMK7H |
Windows Server 2025 Standard | TVRH6-WHNXV-R9WG3-9XRFY-MY832 |
Windows Server 2025 Datacenter | D764K-2NDRG-47T6Q-P8T8W-YP6DF |
Activer Windows
Relancez l'utilitaire Exécuter puis exécutez la commande suivante pour associer la clé au robot d'activation Infomaniak:
cscript.exe c:\windows\system32\slmgr.vbs -skms kms.infomaniak.cloud
Relancez l'utilitaire Exécuter puis exécutez finalement la commande suivante pour activer votre système Windows:
cscript.exe c:\windows\system32\slmgr.vbs -ato
Ce guide explique comment remplacer, au sein d'un hébergement Web Infomaniak, l'adresse d'un site actuellement sous-domaine (https://dev.domain.xyz
p.ex) par le domaine principal (https://domain.xyz
).
Préambule
- Les opérations en bref:
- On débute avec un site créé et accessible par l'URL du domaine principal
dev.domain.xyz
. - On lui ajoute un alias
domain.xyz
. - On inverse les 2 types (le domaine principal devient alias et l'alias devient principal).
- On retire l'ancien nom
dev.domain.xyz
.
- On débute avec un site créé et accessible par l'URL du domaine principal
- A noter que l'emplacement du site reste dans le dossier d'origine sur le serveur ; le nom de cet emplacement peut ĂŞtre de la forme
/sites/dev.domain.xyz
mais cela n'a strictement aucune incidence sur le site en production. - Prenez également connaissance du dernier chapitre de cet autre guide.
Les opérations en détail
Pour passer d'un site avec une adresse de type sous-domaine "dev.domain.xyz
" Ă une adresse directe "domain.xyz
":
- Cliquez ici afin d'accéder à la gestion de votre produit sur le Manager Infomaniak (besoin d'aide ?).
- Cliquez directement sur le nom attribué au produit concerné.
- Cliquez ensuite sur le chevron ‍ pour développer la partie Domaines de ce site:
- Cliquez sur le bouton Ajouter un domaine:
- Ajoutez le nouveau nom désiré, cochez les cases correspondantes.
- Cliquez sur le bouton pour Confirmer:
- Une fois l'ajout effectué, cliquez sur le menu d'action ⋮ situé à droite de l'élément concerné.
- Choisissz de définir l'élément en tant que domaine principal:
- Validez l'opération pour procéder à l'inversion des domaines.
Ce guide explique comment installer et configurer systemd
sur un Serveur Cloud et présente les principales commandes utilisables.
⚠️ Pour de l'aide supplémentaire contactez un partenaire ou lancez gratuitement un appel d'offres — découvrez aussi le rôle de l'hébergeur.
Prérequis
- Suivre le guide d'installation
systemd
pour Serveur Cloud. - Consulter la documentation officielle pour prendre connaissance de l'ensemble des possibilités offertes par systemd
- Les fichiers "unit" devront être placés dans :
~/.config/systemd/user/ ( /home/clients/absolute-path-id/.config/systemd/user )
(en remplaçant absolute-path-id visible dans votre Manager) et les permissions doivent être réglées en 0644. - Le paramètre
--user
doit être indiqué dans chaque commande.
Principales commandes
Voici une liste non-exhaustives de commandes utilisables avec systemd
.
Forcer systemd
Ă lire Ă nouveau les unit files et Ă prendre en compte les modifications:
systemctl --user daemon-reload
Activation d'un service:
systemctl --user enable --now SERVICENAME.service
Vérification de l'état d'un service:
systemctl --user status SERVICENAME.service
Configuration de Node en tant que service avec systemd
Il sera nécessaire de créer un fichier "Unit" avec l'extension ".service", qu'il faudra enregistrer dans le répertoire:
~/.config/systemd/user/
Il est possible de réutiliser l'exemple ci-après en remplaçant les valeurs commençant par {} :
[Unit]
Description={Le nom du service} # Spécifier ici un nom du service. Celui-ci est obligatoire mais n'a pas d'impact sur le fonctionnement
[Service]
Restart=always
Environment=NODE_VERSION={la version souhaitée} # Spécifier ici la version de Node à utiliser. S'assurer qu'elle soit installée au préalable avec "nvm install {la version souhaitée}"
WorkingDirectory=%h/{repertoire du projet Node} # %h correspond à la racine de l'hébergement
ExecStart=/bin/bash -c "exec $HOME/.nvm/nvm-exec {commande de lancement du script node}" # Cette commande dépend du projet. Par exemple, "npm run start", "npm run serve" ou encore "node server.js" sont courants
[Install]
WantedBy=default.target
Actions supplémentaires avec un fichier Unit
systemctl --user daemon-reload
Démarrer le service (si celui-ci est déjà actif, rien ne se passe):
systemctl --user start [Nom du Unit]
ArrĂŞter le service (si celui-ci n'est pas actif, rien ne se passe):
systemctl --user stop [Nom du Unit]
Redémarrer le service (s'il ne tourne pas, il est lancé):
systemctl --user restart [Nom du Unit]
Obtenir des informations sur le service ; notamment:
- "Active" qui indique si le service tourne et depuis quand
- "CGroup" montre le groupe de processus que gère le service, ça permet de voir les processus actifs, avec leurs arguments et leur ID
En dessous de "CGroup" se trouvent d'éventuels logs (la sortie standard et erreur du processus):
systemctl --user status [Nom du Unit]
Activer le démarrage automatique du service au boot du serveur ; NB: ça ne démarre pas le service:
systemctl --user enable [Nom du Unit]
Désactiver le démarrage automatique du service au boot du serveur ; NB: ça n'arrête pas le service:
systemctl --user disable [Nom du Unit]
Configuration avec les entrées user:
[Unit]
Description="nom service"
[Service]
Restart=always
Environment=NODE_VERSION=16.17
WorkingDirectory=%h/sites/"nom-repertoire-site"/
ExecStart=/bin/bash -c "exec $HOME/.nvm/nvm-exec npm run start"
[Install]
WantedBy=default.target
Ce guide donne des indications pour synchroniser kDrive avec un VPS (ou l'inverse) via le protocole WebDAV
que l'on retrouve dans l'application rClone.
COMPATIBILITÉ my kSuite ✗‍ | my kSuite+ ✗‍ ✔‍= Offre compatible | ✗‍= Non disponible |
Prérequis
- Posséder un VPS.
- Connaitre votre identifiant kDrive (ID kDrive).
Synchroniser kDrive et VPS via rClone
L'opération permet de récupérer en temps réel les fichiers et dossiers du kDrive et de pouvoir lire, créer ou modifier ces fichiers depuis votre VPS tout en étant sûr qu’ils soient synchronisés à nouveau sur le serveur kDrive. Un point de montage rClone pourra être réalisé avec un dossier de votre VPS afin de pouvoir manipuler ces fichiers kDrive.
Prenez connaissance de la documentation rClone si vous recherchez des informations au sujet des options qui existent:
- Exemple de commande rClone:
rclone mount kdrive:/My_kDrive_Folder_Path /home/ubuntu/Target_Folder_Path --vfs-cache-mode full --vfs-cache-max-age 24h --vfs-cache-max-size 10G --cache-dir /home/ubuntu/rclone/cache --daemon --allow-other --dir-cache-time 1h --log-file /home/ubuntu/rclone/rclone.log --log-level INFO
- L’attribut
--daemon
de cette commande permet de lancer la synchronisation en tâche de fond car sans lui, cette sync se termine à chaque déconnexion du VPS…
- Exemple de fichier de configuration rClone:
[kdrive] type = webdav url = https://***.connect.kdrive.infomaniak.com/*** vendor = other user = *** pass = ***
- Adresse du serveur:
https://IDkDrive.connect.kdrive.infomaniak.com
(prenez connaissance des prérequis ci-dessus) - Nom d'utilisateur: adresse mail de connexion au compte utilisateur Infomaniak
- Mot de passe: mot de passe d'application en cas de double authentification activée ou ‍celui de votre compte utilisateur Infomaniak si vous n'avez pas activé la 2FA
Ce guide est au sujet de "browscap.ini", un fichier de configuration utilisé par la bibliothèque PHP "browscap" qui contient des informations sur les navigateurs web et leurs caractéristiques, telles que leur nom, leur version, les systèmes d'exploitation compatibles, les capacités de navigation, etc.
Informations sur le fichier
Le fichier "browscap.ini" reflète les dernières informations sur les navigateurs web. Il peut être utilisé avec les scripts PHP qui nécessitent la bibliothèque "browscap".
Le phpinfo indique oĂą se trouve le fichier browscap.ini, Ă savoir:
/opt/php/lib/php/browscap.ini
Vous pouvez vous-même récupérer le contenu du fichier via un script PHP p.ex:
<?php
header("Content-type: text/plain");
print file_get_contents("/opt/php/lib/php/browscap.ini");
?>
Notez que la bibliothèque "browscap" n'est plus largement utilisée et que de nombreux développeurs préfèrent d'autres solutions pour détecter les navigateurs, telles que la fonction native PHP "get_browser()".